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lundi 30 novembre 2009

L’avenir, c’est le papier !

Derrière ce titre un tantinet provocateur, il y a un fond de vérité... Le papier électronique se développe et sort des frontières asiatiques pour évangéliser l'occident.

Si on en croit l'observatoire Tebaldo, le papier électronique sera "courant" dans les pays occidentaux dès 2011. On peut aisement immaginer les applications de ce type de support: une nouvelle jeunesse pour le livre, des affiches publicitaires consommant très peu d'energie et surtout n'ayant pas besoin d'être remplacées toutes les semaines, puisque le contenu se met à jour à distance...

Techniquement cette technologie se rapproche plus du papier que de l'écran... Il s'agit de papier comprenant des micro capsules traversées par un faible courant électrique.

3 millions de ces lecteurs se sont déjà vendus à travers le monde cette année, et ces chiffres devraient doubler voir tripler en 2010.

La dématérialisation et le papier se battrons donc bientôt ensemble sous la même banière "technologie responsable (ou Green-IT)!!

article librement inspiré de celui-ci: http://tiny.cc/y2wbI (AFP)

Pour les sceptiques (je les comprends):

La dématérialisation à deux vitesses

La facturation électronique est promise à un bel avenir (Croissance de 29% par an de 2009 à 2011) si l'on en croit une récente étude publiée par le cabinet d'étude Markess International.

L'étude apporte une précision particulièrement croustillante: le nombre de projets de dématérialisation "avec conservation des documents en version papier" progresse plus vite que les projets de démat sans archivage papier. (+24 points entre 2008 et 2009 contre +6 points).

Cette dématérialisation à deux vitesses met-elle en évidence la période de transition que traversent les entreprises vers le tout numérique ? Ou alors est-ce la preuve d'une certaine réticence à aller tout de suite vers une numérisation globale des documents...

Qu'en pensez-vous ?

Cet article est librement inspiré d'un article paru sur demateriel.com

Venez en discuter sur Linked in ou Viadeo!

lundi 16 novembre 2009

AMP – Groupe Lagardère - automatise 99,5% des 3,7 millions de bordereaux annuels avec ITESOFT

ITESOFT, leader en France et éditeur européen majeur de solutions de capture, traitement et gestion automatiques de documents et AMP principal distributeur de presse en Belgique reviennent sur 5 années d’utilisation des technologies de lecture automatique de formulaires.

Automatiser la lecture des formulaires est depuis longtemps une évidence pour AMP. « Notre métier impose une véritable industrialisation des processus, nous travaillons quotidiennement en flux tendu avec des impératifs horaires. Automatiser nous permet de respecter les délais » indique Loic BURGOT, Directeur des Systèmes d’Informations de AMP.

En effet, chaque matin entre 4h et 7h, depuis une dizaine d’entrepôts, AMP prépare puis distribue journaux et magazines sur plus de 6 000 points de vente (librairies, grandes surfaces, points Relay…) répartis sur l’ensemble de la Belgique. Avant la tournée suivante AMP doit avoir traité les formulaires d’invendus (12 000 par jour), les retours marchandises et avoir édité les éventuelles notes de crédit pour les détaillants.

La solution ITESOFT.FreeMind for Business installée dans les entrepôts numérise les bordereaux, lit automatiquement les données manuscrites et vérifie en temps réel la correspondance avec la marchandise retournée. Les données sont intégrées instantanément dans SAP® et les images des bordereaux sont archivées en cas de litige ultérieur.

Les bénéfices sont nombreux : « Le gain en terme de productivité et de réduction des délais est considérable : 99,5% des formulaires sont traités automatiquement. Leur traitement ne prend plus qu’une dizaine de minutes par jour. Dès j+1 l’ensemble des notes de crédit sont remises aux détaillants et nos statistiques de vente sont à jour ». L’outil est par ailleurs apprécié pour sa simplicité d’utilisation : «nos responsables d’entrepôts ont été formés en une journée sur des interfaces ergonomiques disponibles en Néerlandais ou en Français.»
Enfin, dernier avantage constaté : les technologies de traitement automatique de documents ont rendu possible le travail en mode décentralisé, impactant directement à la baisse les temps de transports lors des tournées sur les points de ventes.

« Nous sommes fiers de la confiance que AMP nous témoigne depuis de nombreuses années. Cela confirme que l’offre et la société ITESOFT sont compétitives sur des projets multilingues et décentralisés » déclare Philippe LIJOUR, Directeur Général de ITESOFT.

http://www.itesoft.fr/?communiques&itemId=amp-groupe-lagardere-traite-ses-bordereaux-dans-sap-avec-itesoft

lundi 2 novembre 2009

La dématérialisation : un double enjeu environnemental et économique


« La dématérialisation est la première étape incontournable de toute stratégie de développement durable », a déclaré Eric Boustouller le président de Microsoft France à l’occasion du Salon de l’entreprise durable qui s’est déroulé à Paris les 20 et 21 octobre dernier. »

La dématérialisation ne concerne pas uniquement les défenseurs de la planète, elle permet aussi de réaliser très rapidement des économies. En effet, les ROI sur ce type de projet sont en général d’un an.

«La dématérialisation peut concerner de nombreux autres postes dans l’entreprise et d’après les données de l’Ademe, son développement pourrait permettre d’économiser des millions d’euros. D’après des experts dont le quotidien les Echos se fait le relais : « la dématérialisation en France représente un potentiel de réduction des émissions de CO2 de 20,7 millions de tonnes .»

Le marché de la dématérialisation, selon le cabinet d’analyse IDC connaîtrait en 2009 une croissance de 21,1% par rapport à 2008, rien d’étonnant compte tenu des contraintes économiques et de l’engouement général pour les problématiques environnementales.

Inspiré de l'article: http://www.developpement-durable-entreprise.fr/dematerialisation-premiere-etape-developpement-durable-f16776.html

Vos feuilles de paie électroniques sont arrivées


La société Novapost propose aux entreprises des bulletins de salaire dématérialisés.
Le principe est simple : chaque entreprise qui franchit le pas obtient un espace dédié en ligne et en lien avec Novapost. Sur cet espace, elle dépose le fichier de paie de ses employés sous format PDF.
Novapost se charge ensuite de gérer les bulletins de salaire de la société.

À noter :

1. Papier ou électronique, le choix est possible.
2. Sécurité et intégrité des données garanties.

Pour Novapost, il n’y a que des avantages à passer au bulletin de salaire dématérialisé :

1. gain de temps pour le personnel,
2. gain financier : le bulletin de salaire dématérialisé coûte 35 % à 60 % moins cher qu’un bulletin papier (0.80 euros au lieu de 2 à 4 euros) et sa mise en place est gratuite, seuls sont facturés les bulletins émis,
3. gain pour l’environnement grâce à l’économie de papier,
4. gain de place pour l’archivage : une entreprise doit, selon la loi, conserver les bulletins de salaire de ses employés pendant cinq années au minimum, mais beaucoup les gardent plus longtemps. « Avec Novapost, entreprises et salariés conservent leurs données à vie et évitent d’accumuler des tonnes de feuilles et classeurs ! », détaille Jonathan Benhamou.

Un de leur client, la société e-Paye a adhéré au système en 2008. Spécialiste de la gestion de la paye et des bulletins de salaire en ligne, l’entreprise est devenue client et fournisseur de la solution Novapost, auprès de ses clients. « Les bulletins de salaire dématérialisés sont infalsifiables, conservables à vie et lisibles quels que soient les formats. C’est une solution d’avenir, qui respecte la loi et garantit l’intégrité des données du salarié. Avant, il était préférable de conserver ses bulletins de paye, notamment pour la retraite. Aujourd’hui, cela a moins d’utilité puisque tout est informatisé ! », confirme Claude Portmann.
La société e-paye a déjà elle aussi convaincu une dizaine de clients de passer au bulletin de paye dématérialisé et le processus ne devrait pas s’arrêter là !

Certaines personnes craignent cependant que le passage à l'ère électronique du bulletin de paie ne se fasse pas sans encombre. C'est le cas de Denis Kientz, expert en nouvelles technologies dans une société de conseil RH, qui met en garde les entreprises contre les risques de piratage ou de modification des données. Ses doutes portent essentiellement sur les systèmes d'intranet-extranet. Selon lui, il serait extrêmement coûteux d'accéder à un niveau de sécurité optimal.

Ces craintes sont légitimes et certains acteurs sur le marché cherchent à établir un référentiel de normes pour assurer la qualité, l'intégrité et la sécurité des données.
 

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